Rainer Maria Rilke, Les Quatrains Valaisans VIII
Ô bonheur de l’été: le carillon tinte
puisque dimanche est en vue;
et la chanteur qui traivaille sent l’absinthe
autour de la vigne crépue.
Même à la forte torpeur les ondes alertes
courent le long du chemin.
Dans cette franche contrée, aux forces ouvertes,
comme le dimanche est certain!
O Sommerglück: Glockengeläute im Wind,
den Sonntag in Gedanken;
und die brütende Hitze riecht nach Absinth,
wo sich die Reben ranken.
Trotz der großen Lähmung, die flinken Wellen
rollen ohne Hindernis.
In dieser freien Gegend, wo offen die Kräfte schwellen,
wie ist der Sonntag gewiß!
Comments are closed.